La moto, un modèle interdit de circulation sur la voie publique, a été immobilisée.
Avec le retour de la belle saison, certains amateurs de motos « oublient » que la voie publique n’est pas un terrain de jeu pour assouvir leur passion des grosses cylindrées. Dimanche après-midi, rue des Gallières à Blois, une patrouille de police a intercepté un jeune homme de 25 ans au guidon d’une moto de type KTM, un modèle interdit sur la voie publique. Un bon point tout de même, le pilote portait un casque ce qui n’est pas si fréquent dans ce contexte. Malheureusement pour lui, son cas s’est aggravé quand les policiers ont découvert qu’il était détenteur d’un sachet d’herbe de cannabis. Le jeune homme a été entendu dans le cadre d’une garde à vue puis laissé libre en attendant les suites de l’enquête. La moto a été immobilisée. La loi du 3 août 2018 a renforcé la lutte contre les rodéos motorisés dont les auteurs sont désormais passibles de peines de prison (jusqu’à cinq ans en cas de cumul de circonstances aggravantes comme la conduite en état alcoolique, sans permis…) et de fortes amendes (jusqu’à 75.000 euros). Sans oublier la confiscation obligatoire du véhicule.
Avec le retour de la belle saison, certains amateurs de motos « oublient » que la voie publique n’est pas un terrain de jeu pour assouvir leur passion des grosses cylindrées. Dimanche après-midi, rue des Gallières à Blois, une patrouille de police a intercepté un jeune homme de 25 ans au guidon d’une moto de type KTM, un modèle interdit sur la voie publique. Un bon point tout de même, le pilote portait un casque ce qui n’est pas si fréquent dans ce contexte. Malheureusement pour lui, son cas s’est aggravé quand les policiers ont découvert qu’il était détenteur d’un sachet d’herbe de cannabis. Le jeune homme a été entendu dans le cadre d’une garde à vue puis laissé libre en attendant les suites de l’enquête. La moto a été immobilisée. La loi du 3 août 2018 a renforcé la lutte contre les rodéos motorisés dont les auteurs sont désormais passibles de peines de prison (jusqu’à cinq ans en cas de cumul de circonstances aggravantes comme la conduite en état alcoolique, sans permis…) et de fortes amendes (jusqu’à 75.000 euros). Sans oublier la confiscation obligatoire du véhicule.
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